Cette grande fresque forme un panorama et montre tour à tour les pays du froid (la Russie et le Nord par Désiré François Laugée), l’Europe par Hippolyte Lucas (qui va de l’Europe industrielle aux pays méditerranées), l’Asie et l’Afrique par Victor Georges Clairin et enfin l’Amérique du Nord (Evariste Vital Luminais). Dans le cadre de notre recherche sur “la fonte et la ville”, il n’était pas inutile de regarder comment était représenté le “progrès” en cette époque (avant 1889).
Pour faciliter la vision de cette immense peinture, nous l’avons découpée pour vous la présenter ; elle donne des indications sur le rôle de chaque région du monde dans le commerce, même si nous n’échappons pas aux clichés.
Attention, le document qui nous a été aimablement communiqué par l’agence Pierre Antoine Gatier (Agence Pierre-Antoine Gatier Architecte en chef des Monuments Historiques) est accompagné de cette précision : “photogrammétrie des peintures de la Bourse de Commerce avant restauration, réalisée par Art Graphique et Patrimoine, pour le compte de l’institution « Bourse de Commerce / Collection Pinault – Paris »”.
Sur l’histoire de cette Bourse (ancienne halle au blé (avec charpente métallique et fonte), bourse et collection Pinault en 2019 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bourse_de_Commerce_/_Collection_Pinault_%E2%80%93_Paris
D’abord en version “complète” mais allégée, l’ensemble (cliquez sur la vignette).
Puis les quatre partie du monde (commercial)
dans l’ordre, les pays du froid (Russie), l’Europe, l’Asie-Afrique et l’Amérique du nord.
Deux signes de la vapeur et du chemin de fer : Europe et Amérique.
Une image de l’intérieur de la halle où l’on voit une partie de la fresque montrant l’Amérique du nord ( partie signée Luminais) (archive Wikicommons)